Mur Mitoyen
Deux mois et 26 000 kilomètres parcourus en ultraléger motorisé, c’est ce qui m’aura fallu pour compléter un exploit inédit reliant l’Australie et la Belgique. François Mauriac disait : « Il ne sert à rien à l’homme de gagner la lune s’il en vient à perdre la terre. » Par ce film, j’avais envie d’illustrer le paradoxe de la beauté extrême de ces régions et de leur immense fragilité environnementale.
Cette odyssée raconte les nombreux risques inhérents aux caprices météorologiques et les embûches rencontrées pendant ce tournage intensif ayant nécessité pas moins de sept pilotes. Quatre appareils pouvant voler à basse altitude et atterrir en zones naturelles ont été mis à contribution pour capter des images saisissantes et représentatives de la réalité actuelle :
_la sécheresse du Sud australien
_la montée des eaux en Océanie
_les îles d’Indonésie
_la mer d’Andaman
_les déforestations de masse
J’ai l’intime conviction que chacun d’entre nous a le pouvoir de contribuer à la sauvegarde de l’environnement. Il s’agit là du défi du siècle pour notre planète.
Cette odyssée raconte les nombreux risques inhérents aux caprices météorologiques et les embûches rencontrées pendant ce tournage intensif ayant nécessité pas moins de sept pilotes. Quatre appareils pouvant voler à basse altitude et atterrir en zones naturelles ont été mis à contribution pour capter des images saisissantes et représentatives de la réalité actuelle :
_la sécheresse du Sud australien
_la montée des eaux en Océanie
_les îles d’Indonésie
_la mer d’Andaman
_les déforestations de masse
J’ai l’intime conviction que chacun d’entre nous a le pouvoir de contribuer à la sauvegarde de l’environnement. Il s’agit là du défi du siècle pour notre planète.
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